dati exemple de adjective pronominale

De même, le préfixe ni-donne une signification négative: nikъto (`No One`), ničьto (`Nothing`). Le pronom réflexive n`a que des formes obliques singulières, qui est l`état des choses héritées de PIE * Swé. Les adverbes nominaux sont dérivées de initiales honorifiques ou se transforment par conversion en adverbes qui sont en fait des lexèmes inflectifs avec la sémantique adverbiale. Les conjonctions et les particules ne sont pas facilement séparables parce qu`ils fonctionnent parfois comme un intensificateur, et parfois comme une conjonction. Les adverbes modaux sont créés avec les suffixes-o ou-ě (les terminaisons de sexe neutre accusatif et locatif singulier respectivement), sans aucune différence de sens entre suffixes, bien que certains adverbes n`aient que les formes in-o (Veselo), et certains in-ě (Javě). Tous les ordinaux sont gonflés comme les adjectifs correspondants. Il faut distinguer les verbes iměti (imamь, imaši, imatъ), IMATI (jemlj, jemleši, jemletъ) et jęti (iminis, imeši, imetъ). L`aorte asigmatique (aussi appelée racine ou simple aoriste) a été nommée d`après la perte du phonème/s/dans l`inflexion (AGr. Il s`agit d`un vestige de final-m/n dans le Pie prépositions * Kom (cf. dans les textes du canon OCS les formes sont souvent contractées, de sorte que ěax devient ěx et AAX devient hache. Les substantifs appartenant à cette classe de déclinaison sont des masculins se terminant en-ь précédées d`un palatale au singulier nominatif (vračь, kralь, košь). Exceptionnel est aussi le verbe xotěti qui expose l`iotation même si ce n`est pas un verbe de type i (xošt, xošteši, xoštetъ). Les noms appartenant à cette déclinaison sont un groupe assez restreint de masculines: činъ, domъ, ledъ, medъ, mirъ, polъ, sanъ, synъ, volъ, vrъxъ.

Les verbes imperfectifs forment le futur en combinant le verbe auxiliaire (byti, xotěti, načęti, iměti) et l`infinitif. Les adjectifs définis (également appelés formes composées, longues ou pronominales d`adjectifs) sont formés en suffixant à la forme indéterminée le pronom anaphorique de la troisième personne jь (orthographié en tant que i dans l`orthographe d`OCS), ja, je comme indiqué dans le tableau. La forme longue n`est généralement utilisée que de façon attributive, alors que la forme abrégée est de nature prédicative. Ce paradigme englobe les noms tels que Krai qui ne semblent pas se terminer dans un palatal, mais sont en fait des combinaisons underlyingly comme krajь et ainsi subir cette déclinaison (kraj-ь, kraj-a). De même, une prothétique n-se produit lorsque les prépositions suivantes, e. La seule exception est le substantif krъvь qui subit la déclinaison de la tige (ū-stem) de ъv. De ces derniers verbes, ceux avec la tige se terminant en-i (Viti, biti etc. Au fil du temps, l`aorte asigmatique est devenu de plus en plus marquée comme une caractéristique de langue archaïque et a finalement été remplacé par les deux autres formations aoristes.

Si la tige se termine en-t ou-d, cette consonne est abandonnée. Appartiennent également à ce paradigme sont les rares masculins se terminant en-a (Sluga, vojevoda). Les pronoms interrogatifs kъto, čьto peuvent aussi avoir les significations indéfinies de «n`importe qui», «n`importe quoi», respectivement. Les noms appartenant à cette classe de déclinaison sont les neuters suivants: brěmę, čismę, imę, pismę, plemę, sěmę, slěmę, těmę, vrěmę. Les noms appartenant à cette classe de déclinaison sont les masculines suivantes: dьnь, jelenь, jęčьmenь, kamy, korenь, plamy, remenь, sęženь, stepenь. L`adjectif interrogatif, parfois aussi étiqueté comme le pronom interrogatif (`qui? Comme mentionné, la troisième personne pronom * i participe à la formation du pronom relatif en ajoutant l`indéclinable že enclitiques. En suivant les prépositions, ces pronoms prennent un n-, donc kъ n`im ъ (`pour eux`) au lieu de * imъ, na n`em ь (`sur lui`), etc. La vieille église slave est une langue inflectionnelle avec des systèmes verbaux et nominaux modérément complexes.

La seule exception est un nombre limité de noms de ce type appartenant au paradigme n-Stem. En attachant la particule enclitique že aux formes de * i on obtient le pronom relatif: iže (`celui qui`), ježe (`la (femelle) un à qui`), jejuže (`les deux de qui`), etc.

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